RĂȘverde prĂ©sident : Le PrĂ©sident ou le Chef de l’Etat est avant tout une personne de haute autoritĂ© qui symbolise la nation. DĂ©couvrez la signification de rĂȘver de prĂ©sident Dans le
REPLAY. Revivez les commĂ©morations du 8-Mai prĂ©sidĂ©es par Emmanuel Macron sur les Champs-ElysĂ©es Le chef de l'Etat prĂ©side dimanche les cĂ©rĂ©monies qui marquent l'anniversaire de la victoire des forces alliĂ©es sur l'Allemagne nazie, sur l'avenue parisienne et sous l'arc de trio... Investiture d'Emmanuel Macron Jean-François CopĂ© fustige un "climat d'imprĂ©paration" au sommet de l'État InvitĂ© du 8h30 de franceinfo, Jean-François CopĂ© dĂ©plore une "perte de temps" de la part d'Emmanuel Macron, qui n'a toujours pas nommĂ© de Premier ministre ou donnĂ© les grandes orientations de son seco... Emmanuel Macron officiellement rĂ©investi, la premiĂšre convention de la Nupes, la finale de la coupe de France de football... Les informĂ©s de franceinfo du samedi 7 mai 2022 Autour d'Olivier de Lagarde, les informĂ©s dĂ©battent de l'actualitĂ© du samedi 7 mai 2022. Investiture d'Emmanuel Macron le prĂ©sident mise sur la sobriĂ©tĂ© et la promesse d'un renouveau La cĂ©rĂ©monie d'investiture d'Emmanuel Macron, samedi 7 mai, s'est rĂ©vĂ©lĂ©e plus sobre que la prĂ©cĂ©dente. Le chef de l'Etat a assurĂ© qu'il Ă©tait "un prĂ©sident nouveau". Politique Emmanuel Macron rĂ©investi prĂ©sident de la RĂ©publique Entre tradition et sobriĂ©tĂ©, Emmanuel Macron a Ă©tĂ© rĂ©investi prĂ©sident de la RĂ©publique, samedi 7 mai, lors d’une cĂ©rĂ©monie dans la salle des fĂȘtes de l’ÉlysĂ©e. Un moment symbolique qui marque officie... Gouvernement Emmanuel Macron tarde Ă  former son Ă©quipe Samedi 7 mai, sur le plateau du 20 Heures, la journaliste Nathalie Saint-Cricq analyse pourquoi Emmanuel Macron prend du temps Ă  former un gouvernement. Investiture d'Emmanuel Macron une cĂ©rĂ©monie sous le signe du renouveau Samedi 7 mai, pour sa seconde cĂ©rĂ©monie d'investiture, Emmanuel Macron a assurĂ© ne pas vouloir ĂȘtre dans la continuitĂ© de son premier mandat. VidĂ©os Investiture d'Emmanuel Macron les cinq moments Ă  retenir de la cĂ©rĂ©monie Ă  l'ElysĂ©e Elu le 24 avril pour un second mandat, le prĂ©sident a Ă©tĂ© officiellement investi nouveau prĂ©sident de la RĂ©publique française samedi matin Ă  l'ElysĂ©e. Emmanuel Macron officiellement investi "C'est reparti pour le grand bla-bla-bla", ironise ClĂ©mentine Autain LFI Pour la dĂ©putĂ©e La France insoumise ClĂ©mentine Autain, Emmanuel Macron est "en grande difficultĂ©, comme le montre d'ailleurs son incapacitĂ© Ă  nommer un Premier ministre". ÉlysĂ©e la cĂ©rĂ©monie d’investiture d’Emmanuel Macron plus sobre dans le protocole En direct de l’ÉlysĂ©e, on retrouve Guillaume Daret, qui suit pour France TĂ©lĂ©visions l’investiture d’Emmanuel Macron, samedi 7 mai. Une cĂ©rĂ©monie bien diffĂ©rente de la prĂ©cĂ©dente. ÉlysĂ©e Emmanuel Macron investi pour la deuxiĂšme fois Deux semaines aprĂšs sa réélection, Emmanuel Macron vient d’ĂȘtre officiellement investi pour la deuxiĂšme fois, samedi 7 mai. Une cĂ©rĂ©monie trĂšs codifiĂ©e, entre tradition et sobriĂ©tĂ©. Second quinquennat d'Emmanuel Macron, suppression de la redevance audiovisuelle... Le "8h30 franceinfo" de Jean-Marc Dumontet Le producteur de spectacles et proche d'Emmanuel Macron Ă©tait l'invitĂ© du "8h30 franceinfo", samedi 7 mai 2022. Investiture d’Emmanuel Macron une cĂ©rĂ©monie marquĂ©e par la sobriĂ©tĂ© Cinq ans supplĂ©mentaires Ă  la tĂȘte du pays. Samedi 7 mai au palais de l’ÉlysĂ©e, Emmanuel Macron a Ă©tĂ© investi Ă  nouveau prĂ©sident de la RĂ©publique. Une cĂ©rĂ©monie retransmise en direct Ă  la t... Investiture d’Emmanuel Macron un second quinquennat qui reste Ă  dessiner Emmanuel Macron a Ă©tĂ© investi, samedi 7 mai, prĂ©sident de la RĂ©publique, il entame un second mandat. Guillaume Daret, en direct de l’ÉlysĂ©e, fait le point sur le calendrier Ă  venir du chef de l’État.&... Investiture d'Emmanuel Macron difficile "de faire diffĂ©remment avec les mĂȘmes chefs d'orchestre et musiciens", selon Laurent Jacobelli La cĂ©rĂ©monie d'investiture du second mandat d'Emmanuel Macron a eu lieu samedi 7 mai Ă  l'ElysĂ©e, en prĂ©sence entre autres des anciens prĂ©sidents Nicolas Sarkozy et François Hollande, ainsi que du... La redevance audiovisuelle est une "ligne Maginot", selon Jean-Marc Dumontet, proche d'Emmanuel Macron InvitĂ© du 8h30, Jean-Marc Dumontet a soulignĂ© que l'audiovisuel français est "un audiovisuel fort", mais qui doit "Ă©voluer, parce que tout Ă©volue". PrĂ©sidentielle revivez la cĂ©rĂ©monie d'investiture d'Emmanuel Macron Emmanuel Macron a officiellement Ă©tĂ© investi samedi Ă  la prĂ©sidence de la RĂ©publique française, pour cinq annĂ©es supplĂ©mentaires. REPLAY. Emmanuel Macron appelle Ă  "agir sans relĂąche" pour "ĂȘtre une nation plus indĂ©pendante" lors de sa cĂ©rĂ©monie d'investiture Le prĂ©sident de la RĂ©publique, réélu le 24 avril dernier, a promis "une nouvelle mĂ©thode" en "planifiant, en rĂ©formant, en associant" les Français. Pour Emmanuel Macron, une cĂ©rĂ©monie d'investiture plus sobre que la prĂ©cĂ©dente Samedi 7 mai a lieu l'investiture d'Emmanuel Macron pour son second mandat de prĂ©sident de la RĂ©publique. François Hollande et Nicolas Sarkozy seront prĂ©sents Ă  cette cĂ©rĂ©monie prĂ©vue pour ĂȘtre trĂšs s... "Tout le monde attend une femme Ă  Matignon", selon Jean-Marc Dumontet, proche d'Emmanuel Macron InvitĂ© du 8h30 sur franceinfo, Jean-Marc Dumontet a incitĂ© Emmanuel Macron Ă  nommer une femme PremiĂšre ministre "parce que ce serait un symbole fort, et c'est nĂ©cessaire". Investiture du prĂ©sident l’histoire derriĂšre le collier de la LĂ©gion d'honneur Emmanuel Macron recevra, samedi 5 mai, pendant son investiture pour son deuxiĂšme mandat prĂ©sidentiel, le collier de "Grand maĂźtre de la LĂ©gion d'honneur". Voici son histoire. CĂ©rĂ©monie d'investiture Emmanuel Macron doit dire "quel sens il donne" Ă  ce second mandat, selon Patrice Duhamel, Ă©ditorialiste politique La cĂ©rĂ©monie d'investiture d'Emmanuel Macron se tiendra ce samedi 7 mai Ă  11 heures. La naissance de la grande coalition Ă  gauche, la cĂ©rĂ©monie d'investiture d'Emmanuel Macron, la menace de guerre nuclĂ©aire en Ukraine... Les informĂ©s de franceinfo du vendredi 6 mai 2022 Autour de Laetitia Krupa, les informĂ©s dĂ©battent de l'actualitĂ© du vendredi 6 mai 2022. PrĂ©sidentielle comment va se dĂ©rouler la cĂ©rĂ©monie d'investiture d'Emmanuel Macron ce samedi ? Élu pour un second mandat, Emmanuel Macron sera officiellement investi nouveau prĂ©sident de la RĂ©publique française ce samedi matin Ă  l'ElysĂ©e. On vous explique en quoi va consister cette cĂ©rĂ©monie.&n... Politique comment se sont dĂ©roulĂ©es les cĂ©rĂ©monies d’investiture sous la Ve RĂ©publique ? Emmanuel Macron sera officiellement rĂ©investi prĂ©sident de la RĂ©publique, samedi 7 mai, cinq ans jour pour jour aprĂšs sa premiĂšre Ă©lection. Comment se sont dĂ©roulĂ©es les cĂ©rĂ©monies d’investiture dans ... Un pilule contre le Covid-19, le droit Ă  l'avortement en Europe et un lac rouge en Lituanie... Le Vrai du Faux junior Dans le Vrai du Faux Junior, les adolescents s'intĂ©ressent aux traitements contre le Covid-19, au droit Ă  l'avortement dans l'Union europĂ©enne et Ă  la guerre en Ukraine. LĂ©gislatives 2022 Ă  qui profite le ralliement des socialistes au programme de la France insoumise ? Jean-Luc MĂ©lenchon a donc rĂ©ussi Ă  rassembler la gauche pour les lĂ©gislatives. Le chef de file des Insoumis est-il un adversaire redoutable pour Emmanuel Macron ? LĂ©gislatives 2022 "Monsieur MĂ©lenchon a fait Ă©lire Emmanuel Macron", selon Jordan Bardella pour qui le RN est "la seule opposition" InvitĂ© du 8h30 de franceinfo, Jordan Bardella a rĂ©affirmĂ© la position du RN comme premier parti d'opposition face Ă  Emmanuel Macron LĂ©gislatives 2022 "Jean-Luc MĂ©lenchon, premier opposant ? C'est une fable", estime Jordan Bardella InvitĂ© du "8h30 franceinfo", le prĂ©sident du RN affirme que la seule opposition Ă  Emmanuel Macron, "ce sont les dĂ©putĂ©s du Rassemblement national". Invasion de Ukraine la France va apporter 300 millions de dollars d'aide supplĂ©mentaires Paris a dĂ©jĂ  apportĂ© Ă  l'Ukraine 100 millions d'euros d'aide humanitaire aux premiers jours de l'offensive russe et permis l'acheminement de plus de 800 tonnes de matĂ©riel.
Avecle Snes-FSU, lutter contre la prĂ©caritĂ© du statut Une rĂ©munĂ©ration Ă  hauteur du travail rĂ©alisĂ© => le Snes-FSU est la seule organisation syndicale Ă  s’ĂȘtre battue pour que l’acadĂ©mie de Lille paie correctement les AESH, selon les prĂ©conisations ministĂ©rielles, et pour que la rĂšgle de l’arrondi au supĂ©rieur de la quotitĂ© de travail soit respectĂ©e. Sortir de la
Le Parisien et le Point, par leurs articles rĂ©cents sur la protection dont bĂ©nĂ©ficient les anciens PrĂ©sidents et, de ce fait, Sarkozy en particulier au Cap NĂšgre, ont remis sur le tapis le statut et les conditions matĂ©rielles accordĂ©es aux anciens prĂ©sidents de la RĂ©publique ; leur protection est toutefois le moins important et le moins illĂ©gitime des multiples et immenses privilĂšges, pour la plupart injustifiĂ©s, qu'on leur accorde!Sarkozy bĂ©nĂ©ficie, pour sa seule protection personnelle, de dix policiers du SPHP ; Chirac se contente, lui, de huit et Giscard d'Estaing de six. Ces informations ont fait quelque bruit dans la presse il est vrai que nous sommes en aoĂ»t et que l'information est Ă  son Ă©tiage !, alors que Mazarine Pingeot a bĂ©nĂ©ficiĂ©, sans aucun titre, pendant plus de dix ans et sans que nul n'en parle et donc ne s'en offusque, d'un service de sĂ©curitĂ© plus important encore, sans y avoir en outre le moindre la chasse aux rĂ©gimes spĂ©ciaux de retraite naguĂšre entreprise sans grand effet d'ailleurs et qui prochainement va rĂ©-ouvrir, en septembre 2013, il en est un, trĂšs "spĂ©cial", qu'on a oubliĂ© et sur lequel RenĂ© DoziĂšre, le trouble fĂȘte des sinĂ©cures d'Etat, a Ă©tĂ© presque le seul Ă  attirer naguĂšre l'attention. DĂ©putĂ© PS de l'Aisne et auteur sulfureux de L'argent et l'État, voilĂ  un homme qui ne doit pas ĂȘtre plus populaire auprĂšs de ses collĂšgues du Palais Bourbon qu'il ne l'est rue de SolfĂ©rino puisque lors des derniĂšres lĂ©gislatives, le PS lui a refusĂ© l'investiture ! Comme les rapports de la Cour des Comptes, dont il doit ĂȘtre un lecteur assidu et vigilant, ses Ă©crits fournissent en effet, Ă  chaque parution, une matiĂšre abondante Ă  la presse française, mĂȘme si souvent ils contiennent des informations que les journalistes pourraient trouver par ailleurs eux-mĂȘmes, s'ils se donnaient le mal de les chercher, ce qui suppose toutefois, prĂ©alablement, qu'ils aient dĂ©jĂ  l'idĂ©e de le faire. En la circonstance, on peut Ă©videmment chercher dans les travaux de RenĂ© DoziĂšre des Ă©lĂ©ments sur les PrĂ©sidents de la RĂ©publique en retraite ; le mandat de Nicolas Sarkozy Ă©tait arrivĂ© Ă  son terme, un peu contre son grĂ©, sans pour autant qu'il puisse, le pauvre, vu son Ăąge, toucher, tout de suite, sa retraite de prĂ©sident, comme on va le voir, mĂȘme s'il a dĂ©jĂ  tous les avantages en nature de cet Ă©tat !Le plus drĂŽle, dans cette affaire, est l'Ă©trange histoire de ce rĂ©gime de faveur des prĂ©sidents honoraires. Les anciens PrĂ©sidents de la RĂ©publique encore vivants et leurs veuves Ă©ventuelles comme on le verra devraient adresser, en signe de reconnaissance, leurs remerciements communs Ă  Laurent Fabius qui, le 8 janvier 1985, saisi d'on ne sait quelle inspiration subite a Ă©crit, en tant que Premier Ministre, Ă  ValĂ©ry Giscard d'Estaing pour modifier trĂšs sensiblement, de son propres chef, le sort des PrĂ©sidents de la RĂ©publique en retraite ou, en tout cas, leur rĂ©munĂ©ration et les avantages dont ils peuvent jouir. Toutefois, comme R. DoziĂšre le souligne, le fondement juridique d'une telle rĂ©forme est des plus fragiles voire douteux ; il ne s'agit, en somme, que d'un courrier personnel », restĂ© secret et donc ignorĂ© des annĂ©es durant, ce qui fait que l'on peut s'interroger sur la valeur dĂ©cisionnelle d'une telle peut d'ailleurs observer, au passage, une fois de plus, Ă  quel point Laurent Fabius est toujours avisĂ© et prĂ©voyant. On se souvient qu'il avait su penser Ă  son papa et Ă  sa famille les Fabius sont "marchands d'art" depuis deux empires et trois rĂ©publiques quand fut dĂ©fini le statut fiscal particulier des oeuvres d'art, Ă©pargnĂ©es de façon curieuse et inattendue, par l'impĂŽt sur la fortune alors créé. Ce point devait assurĂ©ment moins prĂ©occuper le Premier Ministre "Gros Quinquin" que L. Fabius qui en 1982 Ă©tait son ministre des finances! En Ă©crivant cette lettre Ă  Giscard trois ans plus tard, c'Ă©tait en rĂ©alitĂ© Ă  lui-mĂȘme qu'il songeait d'abord et surtout. En effet, en tant que "plus jeune Premier Ministre" de notre histoire, la voie de l'ElysĂ©e lui semblait en effet, inĂ©vitablement ouverte et, en feignant de se pencher sur le sort de VGE et de Tonton, c'Ă©tait surtout son propre avenir qu'il prĂ©parait en tant que probable futur ancien PrĂ©sident de la toujours en ces lieux, je vous la fais courte et je vais au fait. Un PrĂ©sident de la RĂ©publique en retraite nous coĂ»te, Ă  la louche grande, je vous l'accorde deux millions d'euros par an, Ă  la charge du contribuable bien entendu. On peut observer qu'une vraie sagesse rĂ©publicaine et un juste souci des finances publiques conduiraient Ă  n'Ă©lire que des prĂ©sidents au moins septuagĂ©naires, Ă©ventuellement mĂȘme octogĂ©naires et si possible Ă©grotants. La tendance actuelle paraĂźt toute autre puisque ce sont dĂ©sormais des quadragĂ©naires pleins de santĂ© qui en rĂȘvent et des quinquagĂ©naires qu'on choisit, sans se prĂ©occuper, le moins du monde, du coĂ»t prolongĂ© qu'ils reprĂ©senteront, dans la suite, pour la est vrai qu'il faut distinguer sur ce point d'une part les avantages en nature qui leur sont attribuĂ©s dĂšs leur sortie de charge et, d'autre part, la retraite proprement dite, somme toute modeste, qui ne leur est versĂ©e qu'Ă  partir du moment oĂč ils atteignent l'Ăąge de 60 ans. RĂ©gime spĂ©cial pour ces veinards qui apparemment ne seront pas astreints aux 62 ou bientĂŽt 65 ans qui guettent le commun des travailleurs. La retraite proprement dite, une pension en fait, est celle d'un conseiller d'Etat ; elle est donc modeste 5250 € par mois, 63 000 € par an, mais elle offre toutefois la possibilitĂ© trĂšs frĂ©quente de pouvoir ĂȘtre cumulĂ©e avec d'autres retraites d'oĂč les euros mensuels des deux autres retraitĂ©s actuels ; le cas Ă©chĂ©ant, si notre retraitĂ© dĂ©cide de siĂ©ger au Conseil Constitutionnel, dont il est membre de droit, il pourra y gagner 12 000 € bruts de plus par plus avantageux tient, en fait, aux immenses et coĂ»teux avantages en nature un logement de fonction oĂč il peut installer Ă©ventuellement des bureaux Nicolas Sarkozy, dĂ©jĂ  logĂ©, avait affaire plutĂŽt pour des bureaux Ă  15 000 € par mois ; la mise Ă  disposition d'un duo de personnel de service qui peut mĂȘme ĂȘtre augmentĂ©, puisque R. DoziĂšre prĂ©cise que ValĂ©ry Giscard d'Estaing avait demandĂ© et obtenu deux personnes de plus, les deux premiĂšres Ă©tant affectĂ©es surtout Ă  la cuisine. L'ancien PrĂ©sident de la RĂ©publique bĂ©nĂ©ficie aussi de sept collaborateurs qui vont du directeur de cabinet Ă  la simple secrĂ©taire. Bien entendu pour les dĂ©placements, une voiture de fonction avec deux chauffeurs Ă  cause des 35 heures! ainsi qu'une escorte de deux ou trois policiers, sans compter les gendarmes qui surveillent le domicile privĂ© voir plus haut pour la rĂ©alitĂ© des faits!.Pour les dĂ©placements, aĂ©riens ou terrestres, tous les voyages sont gratuits, dans la classe la plus haute comme on l'a vu avec les euros de la rĂ©cente escapade de Carla Ă  New-York pour lui mĂȘme et son conjoint, sur l'ensemble des rĂ©seaux publics dans la meilleure classe » faut-il le rappeler? Pour l'Ă©tranger, logement chez l'ambassadeur de France du lieu Ă  condition toutefois que les dĂ©placements soient opĂ©rĂ©s "dans le cadre de ses fonctions" ce qui pour un retraitĂ©, demeure assez flou » comme le note avec malice R. DosiĂšre. En cas de dĂ©cĂšs, la veuve bĂ©nĂ©ficie d'une pension de rĂ©version et garde une partie des avantages Ă©voquĂ©s plus haut, ces privilĂšges s'Ă©tendant Ă  ses enfants jusqu'Ă  leur majoritĂ©. Ces privilĂšges cessent hĂ©las pour les gĂ©nĂ©rations suivantes!"ArrĂȘtons-nous ici !" comme on chante au deuxiĂšme acte de l'Armide de GluckPrĂ©sident de la RĂ©publique voilĂ  un mĂ©tier dont le rĂ©gime est vraiment "trĂšs spĂ©cial" ! La rĂ©forme annoncĂ©e ne devra pas l'oublier.
EllerĂȘvait de quoi Irma Ă©tant petit fille ? Je rĂȘvais d’ĂȘtre prĂ©sidente de la rĂ©publique camerounaise ! A quel Ăąge le virus de la musique s’est vraiment accaparĂ© de votre personne? TrĂšs tĂŽt. J’ai commencĂ© par du piano classique Ă  7 ans, et avant ça j’ai toujours baignĂ© dans un environnement trĂšs musical, mon pĂšre Ă©tant guitariste. Racontez- nous votre Ce blog est personnel, la rĂ©daction n’est pas Ă  l’origine de ses contenus. La pluie, la grĂȘle, la foudre mĂȘme et tous les guerriers du Walhalla rĂ©unis n’auront pas rĂ©ussi Ă  empĂȘcher François Hollande de dĂ©barquer Ă  Berlin fringant comme Ă  la rosĂ©e du matin et feindre de ne pas remarquer l’accueil de sous-prĂ©fecture qui lui Ă©tait pouvait alors penser que, mĂȘme si le calendrier europĂ©en et international a ses exigences, rien n’obligeait le PrĂ©sident de la RĂ©publique Ă  peine investi Ă  se prĂ©cipiter toutes affaires cessantes en Allemagne pour ce qui aurait pu passer pour une forme d’allĂ©geance. Au vu de l’attitude rĂ©cente de la ChanceliĂšre, la courtoisie commandait plutĂŽt qu’elle se dĂ©place Ă  Paris. L’amitiĂ© franco-allemande n’en aurait pas Ă©tĂ© froissĂ©e
.Mais François Hollande est dĂ©cidĂ©ment un drĂŽle de zig. Cet amoureux de football – et pas seulement du PSG - prĂ©fĂšre dĂ©buter sur terrain adverse, parce qu’il sait que les buts marquĂ©s Ă  l’extĂ©rieur comptent double et qu’un match nul y est dĂ©jĂ  une victoire. Et lĂ , devant Angela Merkel verrouillĂ©e comme une dĂ©fense italienne des annĂ©es 70, Hollande s’en est donnĂ© Ă  cƓur joie, dĂ©roulant son jeu – croissance, croissance, croissance – avec la mĂȘme insolence que celle qu’il avait imposĂ© Ă  Sarkozy lors de leur dĂ©bat tout va bien. Les articles les plus lus Journal — Les affaires financiĂšres de La France insoumise RecommandĂ©s par nos abonnĂ©es TIARET- Le PrĂ©sident de la RĂ©publique, Abdelaziz Bouteflika, a adressĂ© lundi Ă  l’occasion de la journĂ©e nationale du chahid, un message dont voici la traduction de l’APS: Au nom d Le prĂ©sident de la RĂ©publique Emmanuel Macron a affirmĂ© ce dimanche, lors d'un entretien dans l'Ă©mission TĂ©lĂ©foot, qu'il est "de la gĂ©nĂ©ration Marseille. C'Ă©tait une Ă©quipe gĂ©nĂ©reuse. Ils Ă©taient beaucoup Ă  me faire rĂȘver. Il y avait JPP. J'aimais beaucoup Chris Waddle".TĂ©lĂ©footEmmanuel Macron "Je suis de la gĂ©nĂ©ration Marseille. C'Ă©tait une Ă©quipe gĂ©nĂ©reuse. Ils Ă©taient beaucoup Ă  me faire rĂȘver. Il y avait JPP. J'aimais beaucoup Chris Waddle". TĂ©lĂ©foot telefoot_TF1 10 juin 2018

commentaugmenter la vitesse d'une trottinette electrique; béchamel thermomix sans lait ; lettres portugaises lettre 5; famille du plessis rugby. gùteau éponge chinois; réglage eau chaude

En Corse, les assassinats mafieux font redouter une inversion des valeurs. Cela se double d’un effet miroir encourage par certains mĂ©dias dominants parisiens, et une sĂ©rie de Canal+ . Les voyous font rĂȘver Mafiosa. Nous, ils nous font souffrir ! », rĂ©agit Jean-François Bernardini, le leader du groupe I Muvrini qui prĂ©side Ă  Bastia AFC- Umani, l’Association pour la Fondation de Corse, investie dans le puissant antidote qu’est la nonviolence NV. © La comĂ©dienne HĂ©lĂšne FilliĂšre, qui interprĂšte Sandra Paoli dans la sĂ©rie Mafiosa localisĂ©e en Corse - CanalPlus 5e saison dĂ©clare en Une du magazine Corsica n° 167- Ă©tĂ© 2013 Moi, les voyous me font rĂȘver
 ». C'est le monde Ă  l'envers et l'inversion des valeurs. MĂȘlant fiction et rĂ©alitĂ© sans subtilitĂ© ni envergure, elle aligne les clichĂ©s du rapport Ă  la famille, des liens du sang, de la parole donnĂ©e ». Des comportements censĂ©s gouverner le milieu des criminels de Mafiosa. Elle prĂ©cise Eux les voyous, ils vont Ă  la dure, sont capables de tuer leur propre frĂšre, leur meilleur ami, de passer d’un clan Ă  l’autre. » Pourquoi rĂȘver ainsi de voyous dont les synonymes sont d’aprĂšs le dictionnaire Ă©corcheur, Ă©cumeur, carambouilleur, coupe-jarret, crapule, escroc, fripouille, gouape, gredin, incendiaire, malfaiteur, margoulin, nervi, requin, scĂ©lĂ©rat, souteneur, terreur, truand et vaurien » ? © Cet interview publiĂ©, pourtant et hĂ©las, dans un magazine insulaire recĂšle un condensĂ© de l’ensemble des prĂ©jugĂ©s sur la Corse, lesquels prolifĂšrent Ă  longueur d’annĂ©es. La rĂ©alitĂ© insulaire est toute autre. Plus nuancĂ©e, plus complexe, plus paradoxale. Faire rĂȘver L’histoire de la Corse dont le territoire et le biotope sont fragiles et exceptionnels rĂ©vĂšle une longue liste de vĂ©ritables hĂ©ros de la libertĂ© qui, eux, mĂ©ritent de nous faire rĂȘver. Parmi lesquels le grand rĂ©sistant Jean Nicoli et Pasquale Paoli qui fit de la Corse un modĂšle politique pour l’Europe au SiĂšcle des lumiĂšres. En effet, outre l’effet de miroir liĂ© Ă  la criminalitĂ© que pointe l’historien Antoine-Marie Graziani, d’autres forces sont en jeu en Corse. Notamment l’engagement de Jean-François Bernardini, qui organise dans l’üle de nombreuses actions et formations dĂ©diĂ©es au cursus intellectuel et moral d’une nonviolence nv active et consciente. Dont une confĂ©rence internationale en juin 2013 Ă  Bastia, conjointement avec Henri Malosse, prĂ©sident du Conseil Economique et Social EuropĂ©en CESE. © Justice privĂ©e. © Dans son essai La violence dans les campagnes corses du XVIe au XVIIIe siĂšcles Ed. A. Piazzola, 2013, l’historien Antoine-Marie Graziani note Longtemps la question de la violence a Ă©tĂ© traitĂ©e de façon rĂ©ductrice, en la renvoyant au seul phĂ©nomĂšne du banditisme. La lecture romantique de la vendetta Ă  aboutit Ă  la construction d’un banditisme d’honneur » pour touristes et cartes postales, avant de l’ĂȘtre pour les Corses eux-mĂȘmes par un jeu de miroir. La rĂ©alitĂ© est toute autre, surtout si on interroge des pĂ©riodes plus anciennes. » Docteur des UniversitĂ©s de Paris I et de Corse, il a proposĂ© de nouvelles perspectives lors de son intervention Ă  la confĂ©rence Scritti Isulani Ă  Penta-di-Casinca, les 13 et 14 aoĂ»t 2013. Notamment sur les tragiques impacts sociaux dans l’üle, de la terrible justice privĂ©e telle qu’elle fut imaginĂ©e par le RĂ©publique de GĂšnes du XVIe aux XVIIIe siĂšcles. Une recherche qui interpelle la violence contemporaine, politique ou de droit commun ». © Il faut rappeler aussi que, en Corse, la multiplication des des activitĂ©s mafieuses se dĂ©roule dans un contexte d’impunitĂ© due, selon les observateurs, aux nombreuses dĂ©faillances du ministĂšre de l’IntĂ©rieur et du ministĂšre de la Justice dans l’üle. En cause, dit-on, les manques d’effectifs dans les services de la police et les tribunaux. © Les Indiens dans les westerns. Sur l’effet miroir, Jean-François Bernardini s’est montrĂ© percutant aussi lors de sa confĂ©rence Ă  Ile-Rousse U Spazziu-20 aoĂ»t 2013. Les Corses sont diabolisĂ©s dans certains mĂ©dias, comme les Indiens dans les westerns toujours montrĂ©s comme sauvages. De la mĂȘme façon, des idĂ©es fausses sur la Corse s’impriment dans les consciences et crĂ©ent , aussi chez les Corses, une auto-image d’eux-mĂȘmes. Comme un effet miroir qui lance une injonction Deviens comme je te dĂ©finis ! Non, les voyous ne me font pas rĂȘver. Nous, ils nous font souffrir ! » © Librement inspirĂ© de l’action politique nonviolente de Gandhi en Inde et de Martin Luther King aux Etats-Unis, les Ă©quipes de Jean-François Bernardini oeuvrent dans toute la Corse pour la diffusion des principes et mĂ©thodes de la nv. Il s’agit d’un vaste dispositif multiforme composĂ© de techniques codifiĂ©es et Ă©prouvĂ©es que l’on dĂ©couvre en Corse, via des stages, des journĂ©es de sensibilisation et des parcours-expos organisĂ©s dans les entreprises et les Ă©tablissements scolaires. Un succĂšs qui pourrait agir comme un antidote social. DĂ©sormais 2 500 adultes et Ă©lĂšves sont impliquĂ©s dans l’üle dans la rĂ©solution des conflits » et la rĂ©gulation des dĂ©saccords par le dialogue » Soit 1% de la population et, pour AFC-Umani, un budget NV de 100 000 euros de 2011 Ă  2013. Sont prĂ©vues prochainement Ă  Bastia diverses opĂ©rations d’excellence, de type formations de formateurs Ă  la nv ». Une riposte dĂ©stabilisante. La NV est un dispositif qui s’adapte Ă  tous les types de conflits naissants dans la famille, l’école, l’entreprise. Elle fonctionne, dĂšs la premiĂšre parole, comme une riposte dĂ©stabilisante pour les nĂ©ophytes ou ceux qui doutent. Elle n’est pas assimilable Ă  l’indiffĂ©rence ou Ă  la lĂąchetĂ©. Et dans l’univers de la politique, cela ne consiste pas Ă  dĂ©signer une cible » comme l’a si bien fait remarquer Nathalie Kosciusko-Morizet Ă  propos du Front national. La nonviolence, qui n’est pas un pacifisme bĂ©at, ne fait pas non plus le jeu du systĂšme, de l’exclusion, de la stigmatisation, de la criminalitĂ© celle des voyous chers Ă  HelĂšne FilliĂšre qui dĂ©truit le tissu social et les solidaritĂ©s. Quand on se proclame nonviolent, il ne s’agit pas de fermer les yeux mais de faire face. C’est, ajoute Jean-François Bernardini, un combat citoyen qui dĂ©clenche, lors des concerts de I Muvrini, des ovations debout en Allemagne, avec des gens qui en ont les larmes aux yeux». © En Corse perdurent aussi I Paceri-les faiseurs de paix » et ce vieux dicton Mieux vaut mourir que tuer ». Sans doute une rĂ©action de rĂ©silience sociale aprĂšs les exactions commises par la RĂ©publique de GĂšnes et sa justice privĂ©e. La nv est une chance historique pour la Corse. La seule voie pour l’üle de dire sa vĂ©ritĂ©. Un dĂ©fi Ă  la face du monde et pas seulement pour la Corse. Notre Ăźle a-t-elle la volontĂ© de se prendre en mains ? Basta cusi ! Il ne faut pas croire aux miracles. Nous devons ĂȘtre Ă  la hauteur de ce qui nous arrive en terme de corruption, de compromission et de loi du silence. Et on veut des outils pour cela », rĂ©sume le leader de I Muvrini. Pour des raisons Ă©videntes, la nonviolence sera un acte social prioritaire de survie pour l’ensemble des habitants d’une planĂšte, dont les ressources et l’espace vital diminuent. Quant aux criminels qui exĂ©cutent d’autres ĂȘtres humains en Corse et ailleurs dans la vraie vie et pas sur les Ă©crans de Canal Plus, HĂ©lĂšne FilliĂšre devrait poser enfin les bonnes questions. Les voyous » dont elles rĂȘvent sont-ils admirables ou dĂ©gouttants de sang ? Une certaine presse magazine les hisse en couverture, mais ces voyous aident-ils les jeunes Corses Ă  grandir et Ă  devenir des adultes responsables de leurs actes et du devenir de l’üle ? La Corse est-elle victime d’un matraquage mĂ©diatique et d’une contamination via la pensĂ©e unique du racisme anti-corse ? S’agit-il des sĂ©quelles du colonialisme ? Pour Jean-François Bernardini Les voyous Ă©voquĂ©s par Corsica, c’est cela aussi, hĂ©las, le prisme colonial ! Ici mĂȘme la presse en Corse a du mal Ă  imaginer que quelque chose de bien , de salutaire puisse venir de chez nous. Qu’il puisse y avoir ici ,en Corse, des cellules en bonne santĂ© ! Alors je le redis chacun doit faire le travail de transformation intĂ©rieure vers la nonviolence
 » Liliane Vittori
InterprĂ©tationonirique n° 2 du mot prĂ©sident pour le rĂȘve prĂ©sident : Devenir prĂ©sident : RĂ©ussite, de belles perspectives professionnelles qui ne seront pas tout Ă  fait celles que vous souhaitiez:

Les adversaires de l’équipe nationale de football du SĂ©nĂ©gal sont avertis ! AprĂšs que nous ayons pu assister Ă  un match retour Ă©pique contre les Pharaons, avec des footballeurs sĂ©nĂ©galais requinquĂ©s et gonflĂ©s Ă  bloc, l’ambition ne manque pas pour le voyage en terres qatariotes. Lors de son ralliement Ă  la coalition majoritaire Benno Bokk Yakaar Bby, le premier vice-prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration sĂ©nĂ©galaise de football FSF nous a dĂ©voilĂ© l’ambition de son Excellence Macky Sall pour le Mondial-Qatar 2022. Aussi imprĂ©visible que crucial parfois -allez demander aux algĂ©riens-, le football draine les passions les plus folles, amĂšne les derbys les plus disputĂ©s et offre la communion des grandes victoires. Sans doute le sacre des Lions du football au Cameroun et leur qualification pour la Coupe du Monde 2022 contre l’adversaire aux 7 Ă©toiles sur la tunique permettent au premier des sĂ©nĂ©galais de rĂȘver grand! A en croire Mouhamed Djibril Wade, les objectifs du Chef de l’Etat Macky Sall pour le Mondial-Qatar 2022 sont fixĂ©s au moins Ă  un accĂšs en demi-finales. Proche des arcanes du pouvoir, le vice-prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration sĂ©nĂ©galaise de football rĂ©vĂšle que le PrĂ©sident Macky Sall, aprĂšs la qualification Ă  la Coupe du monde de football 2022, a exprimĂ© le souhait de voir la bande Ă  Sadio ManĂ© atteindre les demi-finales. Ce qui, du reste, est un objectif envisageable, selon le nouvel alliĂ© de la mouvance prĂ©sidentielle. Nous remercions le PrĂ©sident Macky Sall de nous avoir permis d’entrer en possession de ce terrain. C’est son record Ă  lui. La prochaine Ă©tape pour nous, c’est d’atteindre la demi-finale de la Coupe du monde qatarie. Et aprĂšs cet objectif atteint, il projettera de la remporter », confie-t-il. GalvanisĂ© par des militants venus assister Ă  son ralliement, le prĂ©sident de Ngb Niary Tally rappelle Je n’étais pas dans le mĂȘme camp qu’Abdoulaye Saydou Sow et Augustin Senghor PrĂ©sident Fsf, Ndlr. Mais quand il s’agit de mener la campagne Manko Wuti Ndamli, nous nous sommes investis tous autour de l’essentiel pour accompagner le prĂ©sident qui a capitalisĂ© une expĂ©rience Ă  la tĂȘte de la fĂ©dĂ©ration et le sĂ©lectionneur Aliou CissĂ©, qui a, lui aussi, capitalisĂ© une expĂ©rience sans commune mesure. C’est pourquoi nous avons constituĂ© un bloc autour d’Augustin Senghor et d’Aliou CissĂ©. Nous en avons entendu de toutes les couleurs. Certains se prĂ©paraient pour nous guillotiner. C’est grĂące Ă  cette union que nous avons pu gagner la Can ».

DĂ©bats François Hollande rĂȘvĂ© en prĂ©sident de la RĂ©publique. Le candidat qui portera les couleurs du PS Ă  l'Ă©lection prĂ©sidentielle sera connu dimanche. En CĂŽte d’Ivoire, nul ne sait comment il va falloir s’y prendre pour sortir de la crise. Le camp du prĂ©sident sortant reste sourd Ă  tous les appels Ă  la raison. Dans le cas prĂ©sent, la mauvaise foi et l’entĂȘtement de Laurent Gbagbo et de ses partisans vont au-delĂ  de l’une et de l’autre, au point que ce pays est dans une situation qu’aucun adjectif ne suffit Ă  qualifier simplement. Tout semble avoir Ă©tĂ© tentĂ© sur le plan intĂ©rieur, un appel aux fonctionnaires civils et militaires pour qu’ils se rangent dans la lĂ©galitĂ© du prĂ©sident lĂ©gitime, puis un autre plus particuliĂšrement destinĂ© aux chefs des forces armĂ©es pour qu’ils redeviennent loyalistes, puis une tentative de mobilisation populaire pour occuper pacifiquement le siĂšge de la radio-tĂ©lĂ©vision. On sait ce qu’il en est advenu des dizaines de morts. Rien n’y fait. Mais il existe peut-ĂȘtre une fenĂȘtre de tir qui pourrait du moins Ă©branler la dĂ©termination de l’ancien chef de l’Etat et de son entourage le recours Ă  ceux que, dans un Ă©tonnant rapport de dominĂ© Ă  dominant, ils continuent Ă  appeler "chers maĂźtres". Il s’agit de tous les collĂšgues universitaires, chercheurs, intellectuels français auprĂšs desquels M. Gbagbo lui-mĂȘme et nombre de ses partisans ont vĂ©cu et travaillĂ©, du temps oĂč ils Ă©taient Ă©tudiants, doctorants, voire enseignants Ă  leurs cĂŽtĂ©s ou coauteurs de leurs ouvrages. En effet, et quel que soit le niveau de rejet de la France exprimĂ© par le camp de l’ex-chef de l’Etat, c’est bien par nos Ă©coles et nos Ă©tablissements supĂ©rieurs que sont passĂ©s la plupart des protagonistes de la crise. Au point qu’on se demande parfois comment l’universitĂ© française en est arrivĂ©e Ă  former des tyrans. La liste est longue, mais on peut faire court. Laurent Gbagbo a soutenu une thĂšse de doctorat d’histoire Ă  la Sorbonne avec une grande – et progressiste – historienne française, qu’il a d’ailleurs dĂ©corĂ©e il y a quelques semaines en souvenir de cette collaboration. Son premier ministre, AkĂ© Gilbert Marie N’Gbo, par ailleurs prĂ©sident de l’universitĂ© d’Abidjan-Cocody, a obtenu son doctorat de sciences Ă©conomiques Ă  l’universitĂ© de Toulouse. Son ministre des affaires Ă©trangĂšres, Alcide DjĂ©djĂ©, ancien ambassadeur de la CĂŽte d’Ivoire auprĂšs de l’ONU, est diplĂŽmĂ© de l’Institut d’études politiques de Lyon. Le ministre des mines et de l’énergie, Augustin Kouadio ComoĂ«, est sorti de l’Ecole nationale de la santĂ© publique de Rennes et a obtenu un DESS Ă  l’universitĂ© Paris-XI. La ministre de l’éducation nationale, Jacqueline LohouĂ©s OblĂ©, par ailleurs enseignante Ă  l’UniversitĂ© privĂ©e de l’Atlantique Ă  Abidjan, a obtenu son agrĂ©gation de droit Ă  Lyon. La ministre de l’enseignement technique, AngĂšle Gnonsoa, a fait des Ă©tudes d’histoire Ă  Paris. Quant au ministre de la culture, Alphonse Voho Sahi, ancien conseiller spĂ©cial de Laurent Gbagbo, il a bĂ©nĂ©ficiĂ© pour son dernier ouvrage 2009 d’une prĂ©face signĂ©e par un ancien chargĂ© de cours, qui a enseignĂ© Ă  Sciences Po Paris. Parmi ceux qui ne sont pas ministres, mais qui sont nĂ©anmoins trĂšs influents du mauvais cĂŽtĂ© du bras de fer actuel, il y a naturellement celui qui non seulement a Ă©tĂ© formĂ© en France mais a Ă©galement enseignĂ© dans nos Ă©tablissements supĂ©rieurs, chantre du libĂ©ralisme Ă©conomique tout en Ă©tant membre du Parti socialiste FPI de Laurent Gbagbo et prĂ©sident de l’AssemblĂ©e nationale Mamadou Koulibaly, agrĂ©gĂ© d’économie Ă  l’universitĂ© d’Aix-Marseille, et familier de l’universitĂ© de Versailles-Saint-Quentin. A cĂŽtĂ©, il y a le prĂ©sident du FPI, Pascal Affi Nguessan, frappĂ© par les sanctions, qui affiche un diplĂŽme d’ingĂ©nieur des tĂ©lĂ©communications de l’INT d’Evry. Enfin, le dĂ©sormais cĂ©lĂšbre prĂ©sident du Conseil constitutionnel Paul Yao N’DrĂ© a Ă©galement appris dans nos universitĂ©s – Ă  Nice – le droit qu’il met en pratique aujourd’hui au service de Laurent Gbagbo. A ce sujet, ses anciens maĂźtres sont-ils fiers de la maniĂšre dont il a interprĂ©tĂ© l’article 64 du code Ă©lectoral ? L’UNIVERSITÉ FRANÇAISE A FAILLI L’idĂ©e de demander Ă  chacun de nos collĂšgues français d’intervenir individuellement et personnellement auprĂšs des anciens Ă©lĂšves concernĂ©s, en leur rappelant les valeurs qu’ils partageaient autrefois, et souvent avec ferveur, c’est-Ă -dire l’humanisme, la tolĂ©rance, la bonne foi, le respect de la dĂ©mocratie et des droits de l’homme, la libertĂ© d’expression notamment de la presse, pourrait ĂȘtre pertinente. Surtout lorsque la CĂŽte d’Ivoire se singularise Ă  ce point en bafouant, parfois gravement, tous ces beaux principes la radio-tĂ©lĂ©vision nationale bascule dans Radio Mille-Collines, les Escadrons de la mort ont Ă©tĂ© rĂ©activĂ©s et tuent chaque nuit, un charnier a Ă©tĂ© dĂ©couvert et camouflĂ© au lendemain de la derniĂšre manifestation pro-Ouattara
 Il est vrai que cette initiative a des relents de colonialisme et de paternalisme sur lesquels il est facile Ă  un esprit mal intentionnĂ© de surfer. Mais lorsque l’historien Laurent Gbagbo ne cesse d’affirmer qu’il a reçu son pouvoir de Dieu et que Dieu seul le lui reprendra, inventant par lĂ  mĂȘme le nouveau concept de RĂ©publique de droit divin, on doit se rendre Ă  l’évidence l’universitĂ© française a failli. Christian Bouquet, professeur de gĂ©ographie politique Ă  l’universitĂ© Bordeaux-III Article paru dans l’édition du Le Monde BERNARD KOUCHNER Un humanitaire pas si dĂ©sintĂ©ressĂ© MORALITE AU SOMMET DE L’ETAT L’Afrique devrait ... Et si Dieu n’aimait pas les Noirs ? » Serge BilĂ© ... DESTITUTION DU MAIRE DE TANA Quelle destination pour ... Union Africaine OĂč va nous conduire ce guide » ... Session spĂ©ciale de l’Union Africaine Une Ă©tape vers ... ActualitĂ© africaine Les fables politiques malgache et ... ETATS-UNIS D’AFRIQUE Faut-il continuer Ă  rĂȘver ... Migration clandestine 24 BurkinabĂš expulsĂ©s de la ... TROUBLES A MADAGASCAR Les ambitions d’un maire ... Tchad/Soudan L’éternel retour CĂŽte d’Ivoire Le dĂ©part des forces Ă©trangĂšres sur le ... 12 Sommet de l’Union Africaine les Ministres en charge ... Madagascar Le pire est Ă  craindre ACCUSATIONS CONTRE MACKY SALL Wade dans son sport ... TRANSPORT EN COTE D’IVOIRE Un enjeu Ă©lectoral Madagascar RĂ©pĂ©tition gĂ©nĂ©rale de l’histoire sur la ... ELECTIONS EN COTE D’IVOIRE Pourquoi ça coince Mamadou Dia Le poil Ă  gratter de Senghor s’en est ... PrĂ©sidentielle en Mauritanie Aziz, il faut ĂȘtre sĂ©rieux ... RDCONGO/RWANDA Les mystĂšres d’une rĂ©conciliation CĂ©tait en marge des travaux du 30Ăš sommet de l’Union Africaine Ă  Addis Abeba en Ethiopie. En si peu de temps, le PrĂ©sident Faure GNASSINGBE Ă  50 ans rĂ©ussit le miracle de rĂ©conciliation nationale et de relance Ă©conomique de son pays. Il rĂȘve de faire du Togo un pĂŽle de dĂ©veloppement de la sous-rĂ©gion ouest-africaine. Le prĂ©sident de la RĂ©publique Amadou Toumani TourĂ© a enfin rĂ©alisĂ© le rĂȘve des populations de la 6Ăšme RĂ©gion, il s’agit de la route du Sahel Tombouctou- Gouma-Coura en 4Ăšme RĂ©gion. Cette route longue de 484 Km sera entiĂšrement bitumĂ©e et est financĂ©e par l’Union EuropĂ©enne Ă  travers le 10Ăšme FED Ă  hauteur de 80 Milliards de F Cfa. Le Mardi 23 Novembre 2010 est une date qui restera longtemps gravĂ©e dans la mĂ©moire des Tombouctiens de Goundam en passant par DirĂ©, Tonka, NiafunkĂ© et LĂ©rĂ©. Le chef de l’Etat Amadou Toumani TourĂ© ATT en procĂ©dant au lancement officiel des travaux du bitumage de la route Tombouctou-Gouma-Coura est un rĂȘve qui vient de se rĂ©aliser, c’est pourquoi une trĂšs grande mobilisation a Ă©tĂ© faite Ă  l’occasion. L’espace dĂ©signĂ© pour la cĂ©rĂ©monie a engorgĂ© du Monde pour magnifier au prĂ©sident de la RĂ©publique, au Premier Ministre, aux membres du Gouvernement et aux Ambassadeurs de l’Union EuropĂ©enne toute leur joie et espoir pour le dĂ©marrage des travaux de cette route aprĂšs 50Ans d’attente. C’est ainsi que le Maire de la Commune Urbaine de Tombouctou Mr HallĂ© Ousmane dans son discours a dit que la construction de la route du Sahel est le plus beau cadeau du Cinquantenaire que le prĂ©sident vient d’offrir Ă  sa ville d’enfance et aux communautĂ©s de la 6Ăšme RĂ©gion. Le Maire a ensuite remerciĂ© l’Union EuropĂ©enne, les entreprises chargĂ©es de l’exĂ©cution des travaux et les forces de sĂ©curitĂ© qui sans eux ce rĂȘve ne sera pas une rĂ©alitĂ©. Dans la mĂȘme perspective le reprĂ©sentant du collectif des DĂ©putĂ©s de la RĂ©gion Honorable El hadji Baba HaĂŻdara dit Sandy a exposĂ© toute l’importance Ă©conomique de la route pour les populations. Cette route est inscrite dans le programme de dĂ©veloppement Ă©conomique et social du prĂ©sident de la RĂ©publique qui l’a d’ailleurs rappelĂ© dans son discours, qu’il vient enfin de concrĂ©tiser un rĂȘve dont il ne savait pas comment il a abouti mais aujourd’hui grĂące au partenaire privilĂ©giĂ© l’Union EuropĂ©enne ce rĂȘve est plus qu’une rĂ©alitĂ©. Le prĂ©sident ATT a profitĂ© Ă©galement de cette tribune pour clarifier certains points sur les menaces d’AQMI dans le dĂ©sert Malien. Pour ATT rien ne prouve que les Otages enlevĂ©s au Niger soient dans le dĂ©sert Malien et que le Mali n’a rien avoir avec ce problĂšme mais que son pays fasse tout pour libĂ©rer les dits Otages. Il a ensuite sollicitĂ© la coopĂ©ration sous RĂ©gionale pour venir a bout du terrorisme dans la bande sahĂ©lo-Saharienne. Cependant, le PrĂ©sident ATT a Ă©tĂ© suivi Ă  l’aĂ©roport de Tombouctou par une dĂ©monstration des parachutages et de combats. Une dĂ©monstration qui rentre dans le cadre de la coopĂ©ration militaire entre la Lybie et le Mali. Cette coopĂ©ration vise Ă  former les soldats Maliens Ă  intervenir dans un temps record dans les RĂ©gions Nord du Mali par des techniques trĂšs efficaces. Avant de regagner Bamako, le PrĂ©sident a rendu une visite de courtoisie aux notables de Tombouctou au domicile du grand Imam de DjingareĂŻber, des priĂšres et des bĂ©nĂ©dictions ont Ă©tĂ© formulĂ©es pour le Pays pour que la paix et la sĂ©curitĂ© rĂšgnent dans le Pays. Modibo keita Commentaires via Facebook

LapremiĂšre Ă©tape a Ă©tĂ© le DĂ©partement de Mayahi oĂč le PrĂ©sident de la RĂ©publique, SE M. Issoufou Mahamadou, a prĂ©sidĂ© la cĂ©rĂ©monie de lancement des travaux d’amĂ©nagement et de bitumage de la route Tchadoua-Mayahi. Un Ă©vĂ©nement de portĂ©e historique pour le dĂ©partement de Mayahi et ses populations qui vivent depuis l’indĂ©pendance

Premier mandat - 17 mai 1995 M. François Mitterrand accueille, le 17 mai, au palais de l'ÉlysĂ©e, M. Jacques Chirac. Ce dernier s'est prĂ©alablement recueilli sur la tombe du gĂ©nĂ©ral de Gaulle Ă  Colombey-les-Deux-Églises. AprĂšs un long entretien, il le raccompagne, avec une courtoisie remarquĂ©e, dans la cour d'honneur du Palais. Il est ensuite proclamĂ© officiellement dans ses fonctions par M. Roland Dumas, prĂ©sident du Conseil Constitutionnel. AprĂšs avoir Ă©tĂ© reconnu par le gĂ©nĂ©ral Forray, grand chancelier de l'ordre national de la LĂ©gion d'honneur, comme grand maĂźtre de l'ordre, le prĂ©sident prononce son discours d'investiture devant les corps constituĂ©s. Dans l'aprĂšs-midi, le PrĂ©sident Jacques Chirac se rend Ă  l'Arc de Triomphe. Retrouvez la cĂ©rĂ©monie en vidĂ©o sur le site de l'INA. 17 mai 1995 - Seul le prononcĂ© fait foi Allocution de Jacques Chirac lors de la cĂ©rĂ©monie d'investiture du 17 mai 1995 TĂ©lĂ©charger le .pdf Messieurs les PrĂ©sidents, Mesdames, Messieurs, En ce jour oĂč je prends la responsabilitĂ© d'assumer la plus haute charge de l'État, je me sens dĂ©positaire d'une espĂ©rance. L'Ă©lection prĂ©sidentielle n'a pas vu la victoire d'une France contre une autre, d'une idĂ©ologie contre une autre. Elle a vu la victoire d'une France qui veut se donner les moyens d'entrer forte et unie dans le troisiĂšme millĂ©naire. Le 7 mai, le peuple français a exprimĂ© sa volontĂ© de changement. Je suis dĂ©cidĂ© Ă  placer le septennat qui commence sous le signe de la dignitĂ©, de la simplicitĂ©, de la fidĂ©litĂ© aux valeurs essentielles de notre RĂ©publique. Je n'aurai d'autre ambition que de rendre les Français plus unis, plus Ă©gaux, et la France plus allante, forte de son histoire comme de ses atouts. Je ferai tout pour qu'un Etat impartial, assumant pleinement ses missions de souverainetĂ© et de solidaritĂ©, soit pour les citoyens le garant de leurs droits et le protecteur de leurs libertĂ©s. Je ferai tout pour que notre dĂ©mocratie soit affermie et mieux Ă©quilibrĂ©e, par un juste partage des compĂ©tences entre l'exĂ©cutif et le lĂ©gislatif, ainsi que l'avait voulu le GĂ©nĂ©ral de Gaulle, fondateur de la Ve RĂ©publique. Le PrĂ©sident arbitrera, fixera les grandes orientations, assurera l'unitĂ© de la Nation, prĂ©servera son indĂ©pendance. Le Gouvernement conduira la politique de la Nation. Le Parlement fera la loi et contrĂŽlera l'action gouvernementale. Telles sont les voies Ă  suivre. Je veillerai Ă  ce qu'une justice indĂ©pendante soit dotĂ©e des moyens supplĂ©mentaires nĂ©cessaires Ă  l'accomplissement de sa tĂąche. Surtout, j'engagerai toutes mes forces pour restaurer la cohĂ©sion de la France et renouer le pacte rĂ©publicain entre les Français. L'emploi sera ma prĂ©occupation de tous les instants. La campagne qui s'achĂšve a permis Ă  notre pays de se dĂ©couvrir tel qu'il est, avec ses cicatrices, ses fractures, ses inĂ©galitĂ©s, ses exclus, mais aussi avec son ardeur, sa gĂ©nĂ©rositĂ©, son dĂ©sir de rĂȘver et de faire du rĂȘve une rĂ©alitĂ©. La France est un vieux pays, mais elle est aussi une Nation jeune, enthousiaste, prĂȘte Ă  libĂ©rer le meilleur d'elle-mĂȘme pour peu qu'on lui montre l'horizon, et non l'Ă©troitesse de murs clos. Le PrĂ©sident François Mitterrand a marquĂ© de son empreinte les quatorze ans qui viennent de s'Ă©couler. Un nouveau septennat commence. Je voudrais qu'Ă  l'issue de mon mandat, les Français constatent que le changement espĂ©rĂ© a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©. Je voudrais que, plus assurĂ©s de leur avenir personnel, tous nos compatriotes se sentent partie prenante d'un destin collectif. Je voudrais que ces annĂ©es, lourdes d'enjeux, mais ouvertes Ă  tous les possibles, les voient devenir plus confiants, plus solidaires, plus patriotes, et en mĂȘme temps plus europĂ©ens, car la force intĂ©rieure est toujours la source d'un Ă©lan vers l'extĂ©rieur. Avec l'aide des hommes et des femmes de bonne volontĂ©, conformĂ©ment Ă  l'esprit et Ă  la lettre de nos institutions, et aussi Ă  l'idĂ©e que je me fais de ma mission, je serai auprĂšs des Français, garant du bien public, en charge des intĂ©rĂȘts supĂ©rieurs de la France dans le monde et de l'universalitĂ© de son message. Vive la RĂ©publique. Vive la France ! 1/6CĂ©rĂ©monie d’investiture du PrĂ©sident de la RĂ©publique Jacques Chirac le 17 mai 1995 ©Archives nationales/PrĂ©sidence de la RĂ©publique 2/6CĂ©rĂ©monie d’investiture du PrĂ©sident de la RĂ©publique Jacques Chirac le 17 mai 1995 ©Archives nationales/PrĂ©sidence de la RĂ©publique 3/6CĂ©rĂ©monie d’investiture du PrĂ©sident de la RĂ©publique Jacques Chirac le 17 mai 1995 ©Archives nationales/PrĂ©sidence de la RĂ©publique 4/6CĂ©rĂ©monie d’investiture du PrĂ©sident de la RĂ©publique Jacques Chirac le 17 mai 1995 ©Archives nationales/PrĂ©sidence de la RĂ©publique 5/6CĂ©rĂ©monie d’investiture du PrĂ©sident de la RĂ©publique Jacques Chirac le 17 mai 1995 ©Archives nationales/PrĂ©sidence de la RĂ©publique 6/6CĂ©rĂ©monie d’investiture du PrĂ©sident de la RĂ©publique Jacques Chirac le 17 mai 1995 ©Archives nationales/PrĂ©sidence de la RĂ©publique Second mandat - 16 mai 2002 La cĂ©rĂ©monie d'investiture du PrĂ©sident de la RĂ©publique a eu lieu au Palais de l'ÉlysĂ©e jeudi 16 mai Ă  16h30. Suivant le protocole, le prĂ©sident du Conseil constitutionnel, M. Yves GuĂ©na, a proclamĂ© les rĂ©sultats dĂ©finitifs de l'Ă©lection prĂ©sidentielle des 21 avril et 5 mai 2002. Le Grand chancelier de l'Ordre de la LĂ©gion d'Honneur, le gĂ©nĂ©ral Jean-Philippe Douin, a prĂ©sentĂ©, sur un coussin, le grand collier de l'Ordre au prĂ©sident de la RĂ©publique. Le chef de l'État est Grand maĂźtre de l'Ordre national. À l'issue de cette prĂ©sentation, le PrĂ©sident a prononcĂ© une allocution, avant de recevoir les honneurs militaires, rendus par la compagnie d'honneur du 1er rĂ©giment d'infanterie de la Garde rĂ©publicaine, dans les jardins. Pendant ce temps, 21 coups de canon ont Ă©tĂ© tirĂ©s des Invalides. Ont Ă©tĂ© conviĂ©s Ă  cette cĂ©rĂ©monie le Premier ministre, les prĂ©sidents de l'AssemblĂ©e nationale et du SĂ©nat, les membres du gouvernement, le prĂ©sident et les membres du Conseil constitutionnel, le doyen du corps diplomatique, les prĂ©sidents ou reprĂ©sentants du Conseil d'Etat, du Conseil Ă©conomique et social, de la Cour de cassation, de la Cour des comptes, de l'Institut de France, et les autoritĂ©s religieuses et militaires. Le premier mandat du PrĂ©sident a pris fin le 16 mai 2002 Ă  minuit. Son second mandat, d'une durĂ©e de cinq ans, a dĂ©butĂ© le 17 mai, Ă  00h00. 16 mai 2002 - Seul le prononcĂ© fait foi Allocution de Jacques Chirac lors de la cĂ©rĂ©monie d'investiture du 16 mai 2002 TĂ©lĂ©charger le .pdf Monsieur le PrĂ©sident du Conseil Constitutionnel, Monsieur le Premier Ministre, Mesdames, Messieurs, Les Françaises et les Français m'ont renouvelĂ© leur confiance. Les devoirs que j'ai envers chacun d'eux seront constamment prĂ©sents Ă  mon esprit, aujourd'hui et pour les cinq annĂ©es du mandat qu'ils m'ont donnĂ©. Ce mandat, je l'aborde animĂ© par l'esprit de service, avec le souci de faire vivre la RĂ©publique, une RĂ©publique enracinĂ©e dans nos coeurs, une RĂ©publique attentive Ă  tous, ouverte, humaine, tolĂ©rante, qui rĂ©ponde aux attentes et aux besoins de chacun de nos compatriotes. Je mesure pleinement les exigences qui s'imposent Ă  l'exercice de la fonction prĂ©sidentielle, particuliĂšrement dans la pĂ©riode actuelle. En faisant Ă©chec Ă  la tentation de l'extrĂ©misme, les Français viennent de rĂ©affirmer avec force l'attachement qu'ils portent Ă  leurs institutions dĂ©mocratiques, aux libertĂ©s publiques, Ă  notre engagement europĂ©en, Ă  notre vocation universelle. La premiĂšre exigence, c'est celle de la cohĂ©sion nationale. La nation française, forgĂ©e par l'histoire, constitue une communautĂ© de valeurs et de destin. Elle reconnaĂźt la diversitĂ©, s'enrichit des diffĂ©rences, revendique son pluralisme. Mais dans l'Ă©coute et le respect de l'autre, elle a toujours su privilĂ©gier ce qui unit sur ce qui sĂ©pare. FidĂšle Ă  l'idĂ©al humaniste qui guide le peuple français depuis la proclamation des droits de l'homme et du citoyen, je veillerai Ă  ce que les principes de libertĂ©, d'Ă©galitĂ© et de fraternitĂ© inspirent constamment l'action de son gouvernement. Cela signifie pour moi une solidaritĂ© renforcĂ©e. Une solidaritĂ© concrĂštement attentive aux difficultĂ©s de chaque Français. Une solidaritĂ© qui fasse reculer la prĂ©caritĂ© et qui redonne l'espoir Ă  ceux qui l'ont perdu. Une solidaritĂ© soucieuse de la sauvegarde d'une protection sociale dont je suis le garant, pour la santĂ©, pour la famille, pour les retraites. Cela signifie aussi une confiance plus grande faite Ă  nos compatriotes, par le plein exercice des libertĂ©s locales, le renouveau du dialogue social et l'accompagnement des forces vives de la Nation. Cela signifie le renforcement de l'Ă©galitĂ© des chances, depuis l'Ă©cole jusqu'Ă  l'emploi, et l'Ă©galitĂ© d'accĂšs Ă  la culture. C'est enfin l'Ă©galitĂ© des droits de tous partout en France. L'unitĂ© de la RĂ©publique s'impose Ă  moi comme une exigence primordiale. La France doit mettre fin Ă  des temps oĂč les repĂšres civiques se sont trouvĂ©s brouillĂ©s. Elle est une et indivisible. En tout point du territoire national, chaque Français a les mĂȘmes droits fondamentaux et les mĂȘmes devoirs, chaque Français participe d'un mĂȘme peuple, chaque Français dĂ©tient une parcelle de la souverainetĂ© nationale. Le PrĂ©sident de la RĂ©publique est le gardien de cette unitĂ©. Elle doit ĂȘtre respectĂ©e dans ses rĂšgles comme dans ses symboles pour lesquels tant de nos compatriotes ont perdu la vie. Pour que ces impĂ©ratifs supĂ©rieurs de cohĂ©sion nationale et d'unitĂ© de la RĂ©publique soient respectĂ©s, l'autoritĂ© de l'État doit ĂȘtre rĂ©affirmĂ©e. Elle le sera. C'est une exigence majeure de ce quinquennat. Le rĂ©tablissement de la sĂ©curitĂ© des Français en dĂ©pend, c'est-Ă -dire leur libertĂ©, leur Ă©galitĂ©, leur tranquillitĂ© d'esprit, une meilleure qualitĂ© de vie permettant d'agir, d'entreprendre, de construire, de faire des projets, de s'engager. L'action est lancĂ©e. Je m'y attacherai personnellement. En ces premiĂšres annĂ©es du nouveau siĂšcle, la France devra relever de nouveaux dĂ©fis pour conforter sa place et son rang en Europe et dans le monde. Elle doit les aborder avec confiance. Ses atouts sont nombreux. Notre pays peut et doit encore les dĂ©velopper. Il est bien lĂ©gitime que beaucoup de nos compatriotes ressentent inquiĂ©tude et parfois angoisse face aux mouvements du monde. La mondialisation des Ă©conomies est source d'Ă©changes, de crĂ©ation de richesses, d'activitĂ© et d'emplois nouveaux. Mais elle dĂ©truit d'autres emplois. Elle conduit Ă  une exploitation non raisonnĂ©e des ressources naturelles de la planĂšte. En France et partout dans le monde, nombreux sont les femmes, les hommes, les enfants, parmi les plus vulnĂ©rables, qui voient s'accroĂźtre la prĂ©caritĂ© de leur situation. Dans l'ordre international comme sur le plan intĂ©rieur, ils attendent des gouvernements qu'ils agissent pour que la mondialisation se fasse au bĂ©nĂ©fice de tous dans le respect de chacun. La mondialisation des Ă©conomies doit impĂ©rativement s'accompagner d'une mondialisation de la solidaritĂ©. La France, fidĂšle Ă  ses traditions, doit ĂȘtre au premier rang de ce combat. Elle doit ĂȘtre la nation de ce combat. Notre pays a un rĂŽle essentiel Ă  jouer pour mobiliser la communautĂ© internationale. Il saura agir pour rĂ©duire les incertitudes et l'instabilitĂ© d'un monde troublĂ© par les conflits entre les peuples, par le sous-dĂ©veloppement, par la violation des libertĂ©s et des droits fondamentaux, et par l'irruption de nouvelles formes de terrorisme, dont plusieurs de nos compatriotes, hĂ©las ! viennent encore d'ĂȘtre victimes. Pour contribuer Ă  faire progresser l'organisation du monde, la France doit ĂȘtre forte, affirmer sa place et son rang. Elle doit avoir l'Ă©conomie d'une grande nation. Elle doit soutenir un effort militaire digne de son influence et garant de sa sĂ©curitĂ©. Elle doit s'engager avec dĂ©termination pour que l'Europe s'exprime avec force sur la scĂšne internationale et qu'elle ait une prĂ©sence et une volontĂ© unies. La France, enfin, doit ĂȘtre Ă  la hauteur des attentes de tant de peuples amis pour lesquels la francophonie est synonyme de libertĂ©, de justice et de culture. Les espoirs et les attentes de nos compatriotes sont immenses. Je veux y rĂ©pondre. Ils peuvent compter sur mon engagement au service de l'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, un intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral qui va bien au-delĂ  de tous les intĂ©rĂȘts particuliers, de tous les intĂ©rĂȘts partisans. C'est la conception que j'ai de ma fonction. Et c'est le mandat que les Françaises et les Français de mĂ©tropole, d'outre-mer et de l'Ă©tranger viennent de me confier. Je l'assumerai. Vive la RĂ©publique ! Vive la France ! OQoJH.
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