Lefilm fait partie de la sélection Cannes Classics 2022. Les films muets laissent place aux films parlants - et le danseur devenu chanteur est lui aussi pris dans cette transition compliquée, tout comme son ami, sa petite amie et sa désagréable co-star.
La preuve est faite Dieu aime danser et il a interrompu le second déluge juste pour laisser Gregory Charles se produire sur la grande scène extérieure des FrancoFolies, hier soir, à ciel ouvert et pas trop couvert, dans un spectacle dont l'objectif était de faire danser, chanter et taper des mains. Chanter sans la pluie, quoi... Mis à jour le 3 août 2008 Évidemment, les prévisions météo ont quand même refroidi bien des gens, et la foule était moins dense, moins nombreuse que l'an dernier au grand spectacle de Pierre Lapointe et de l'Orchestre métropolitain. Et puis, il faut bien le dire, Gregory Charles a tellement multiplié les apparitions dans les dernières semaines en raison du Mondial choral de Laval et de ses quatre soirs à la Cinquième Salle de la PDA, pendant les Francos, que plusieurs ont eu l'occasion de le voir et ont décidé de ne pas tenter le diable, alias la pluie. Quoi qu'il en soit, c'est une foule de tous âges, toutes couleurs, toutes conditions qui s'est réunie rue Sainte-Catherine pour assister à ce grand spectacle. Sur scène s'étaient rassemblés certains des meilleurs musiciens du Québec sous la direction de Guy St-Onge, trois choristes particulièrement en forme et le Collège vocal de Laval, chorale composée de très jeunes chanteurs fondée par Mister Charles. Disons tout de suite que la formule du spectacle conviendrait tout à fait à un soir de la Saint-Jean, avec son amalgame de chansons très connues faites effectivement pour bouger... et, pour seules chansons moins connues, celles de Gregory Charles lui-même. Après avoir d'abord promis pour les six prochaines heures, on va danser», il a en effet commencé par Sur ma peau, une des chansons de son album en français Loin de la lumière, et a repris le refrain de ce morceau entre toutes les chansons de la première demi-heure de son spectacle. On s'entend-tu que trop, c'est comme pas assez? C'était chouette, pourtant, de mêler J'ai le rock'n'roll pis toé d'Offenbach, Ce soir, on danse à Naziland et Quand on arrive en ville de Plamondon, 1990 de Leloup, Fu Man Chu de Charlebois, Tout le monde est malheureux et La danse à Saint-Dilon de Vigneault, Dégénération de Mes Aïeux, Souvent, longtemps, énormément de Diane Tell, Toujours vivant de Gerry Boulet très bien, avec juste les percussions et les voix de tous les chanteurs, enfin un Musicien parmi tant d'autres d'Harmonium. Mais juste quelques lignes ou strophes, c'est un peu frustrant. Et le refrain de sa chanson qui revenait sans cesse - sans rire, au moins une quinzaine de fois - devenait franchement répétitif et lancinant. Bref, c'était une mauvaise bonne idée ou le contraire?. Une chance qu'il y a inséré au complet J'entends frapper de Pagliaro toujours un franc succès, cette chanson de 1975, si je ne m'abuse.... Après une autre chanson de Gregory Charles Je reviens, étirée juste un tout petit peu trop..., les trois choristes, les très bonnes Kim Richardson, Elizabeth Blouin-Brathwaithe et Marie-Alice Depstre, ont chanté un autre pot-pourri plus funk et blues, avec notamment Funky Sation, de Toulouse, toujours agréable. Il a fallu quitter les lieux à un moment donné pour courir à un autre spectacle, mais quand nous sommes repassés rue Sainte-Catherine, un peu plus tard, les gens chantaient, dansaient et tapaient des mains, comme promis. Et sans pluie. On pourra revoir ce spectacle intégralement puisqu'il sera télédiffusé le 24 août, à 20h, sur TV5. Chantonssous la pluie, film américain de 1952 réalisé par Gene Kelly, de genre Comédie musicale, avec Gene Kelly, Debbie Reynolds, Donald O'Connor, BDFCi Le cinéma BDFCi Le cinéma Un vent fifties et sixties souffle sur votre écran avec cette sélection de films par LadyDandy ! Qu’y a-t-il de plus formid’ qu’un chef-d’oeuvre intemporel » ? Comme je suis une chouette copine, quelques tuyaux sur des films vraiment sensas’ et qu’ont l’âge de vos darons ou même des vieux de vos paternels. Tention les gars, ça va être épatant. Dans la catégorie Chorégraphie léchée au poil de cul près » Chantons sous la pluie, de Stanley Donen et Gene Kelly 1952 Gene Kelly qui chante sous la pluie même en ayant pas vu le film, il est difficile d’échapper à cette séquence. Mais Chantons sous la pluie c’est surtout un film sur le cinéma avec quelques parodies et piques bien senties sur le milieu ! On suit la production d’un film avec le passage difficile du muet au parlant. Le trio d’acteurs principaux est au poil, en particulier Donald O’Connor dont le Make em laugh est juste hallucinant. J’ai aussi un faible pour Jean Hagen qui campe la starlette du muet à la voix nasillarde Lina Lamont. La séquence où elle essaie de jouer avec des micros est culte ! Les petits tout petits, ont de longues figures… Oooh Pierre ! Pour la version Fred Astaire sinon, il y a Tous en scène de Vincente Minnelli sorti un an après avec de très chouette séquences de danse mais un scénario et des personnages moins attachants. Hello, Dolly!, de Gene Kelly 1969 Je suis pas folle de Barbra Streisand mais elle gère quand même pas mal ici en agence matrimoniale ambulante qui a toujours l’air d’avoir une longueur d’avance sur les autres personnages. Pour être honnête, je trouve que ce film manque parfois un peu de rythme mais je craque complètement pour les personnages, notamment le duos de valets Cornelius et Barnaby qui entament la chanson Put on your Sunday Clothes scène redevenue culte dans Wall-E. Pour peu qu’on se laisse emporter, ça met vraiment de bonne humeur et toutes les séquences de danse en costumes victoriens sont très impressionnantes. Note ce film passe le Bechdel Test ! Désolée, pas pu trouver de meilleure version LISTEEEN BARNABYYYYY Les demoiselles de Rochefort, de Jacques Demy 1967 Oui… c’est un iota ringard, Jacques Demy, mais je craque totalement pour Les Demoiselles de Rochefort et Peau d’Âne… et Les Parapluies de Cherbourg, tellement drôle les cinq premières minutes, puis très très badant. Les jumelles aux allures de poupées en petites robes assorties et gros chapeaux à fleurs qui prouvent au détour d’une ritournelle qu’elles en ont plus dans la caboche qu’on veut bien le croire, George Chakiris West Side Story, doublé en français ici et son comparse, Grover Dale, qui enchaînent les jetés en pantalons moule-culs, Gene Kelly l’améwicain qui envoie du rêve, Jacques Perrin qui cherche son idéal, Danielle Darrieux qui ne veut pas être Madame Dame… Tous se croisent, se taquinent, se chantent dessus et dansent avec une facilité qui a dû coûter un max de sueur. Les personnages sont attachants, les chansons entêtantes, c’est festif, léger et vraiment inégalable pour chasser la mauvaise humeur. Note ce film passe le Bechdel Test ! Celle-ci, je la connais par coeur ! Meilleure rupture du MONDE. Dans la catégorie Grosse Poilade » Certains l’aiment chaud, de Billy Wilder 1959 Attention film cultissime qui ne prend pas une ride et qui continue de questionner en faisant rire. Deux jazzmen se travestissent pour rejoindre un groupe de musiciennes en tournée dont la trop adorable Marilyn afin d’échapper à des gangsters. On a des flingues, des filles mais surtout des quiproquos, une ambiguïté incroyable et Jack Lemmon en Daphné — alias le travesti le plus drôle et touchant que j’ai jamais vu. Là où le film frappe fort c’est qu’il ne tombe jamais dans la farce ou dans la vulgarité malgré les gags un peu olé olé pour l’époque hein… on était encore sous le Code Hays !. C’est drôle, rythmé, bien filmé et avec un casting superbe ! Mention spéciale pour le vieux Joe E. Brown, alias c’est Maman qui fait mes comptes » ou le culte Nobody’s perfect ». Note ce film passe le Bechdel Test ! Ce film wants to be loved by youuu Poupoupidou Une femme de tête, de Walter Lang 1957 Ce film n’est pas excellent en terme de mise en scène mais pour le reste — dialogues, rythme, casting — il est canon ! Et puis, je tenais à parler d’un film avec Katharine Hepburn et celui là rentrait dans la bonne décennie. Sinon, avec elle et de George Cukor je recommande Les Quatre Filles du Docteur March Katharine Hepburn est la meilleur Jo du monde. Et puis Sylvia Scarlett avec une Katharine travestie en trèès beau garçon. Sinon, le film L’impossible monsieur Bébé de Howard Hawks avec Cary Grant est bien poilant aussi ! Katharine Hepburn dans Sylvia Scarlett Mais parlons du film Une femme de tête Bunny Katharine Hepburn est à la tête d’un bureau de renseignements on appelle son équipe pour répondre à toutes sortes de questions du genre Quels sont les prénoms des rennes du Père Noël ? », De quel pays Ouagadougou est la capitale ? » etc.. Richard Sumner Spencer Tracy — qui était plus ou moins avec Katharine Hepburn en vrai, et a en tous cas été son partenaire dans plein de films, lui, est l’inventeur d’un des premiers ordinateurs et est chargé d’améliorer le rendement des entreprises. Quiproquos et amûr rencontre la thématique sous-jacente, toujours très actuelle la machine peut-elle remplacer l’humain ? ». C’est drôle, les acteurs sont super et ce film passe aussi le Bechdel Test par contre la mise en scène est pas tip top. La femme modèle, de Vincente Minnelli 1957 Lauren Bacall est une actrice extraordinaire qu’on réduit peut-être un peu trop souvent à son couple avec Humphrey Boggart ou à ses rôles de femme fatale. Dans ce film, je l’ai juste trouvée incroyablement drôle. Cynique et charmante, elle joue une styliste new-yorkaise parfaitement au fait de la vanité de son milieu et qui apprécie son boulot malgré tout. Sa voix est la plus sexy du monde. À ses côtés on a Gregory Peck, journaliste sportif embringué dans une histoire de mafieux, et on suit les tribulations de leur couple qui se marie sur un coup de tête et peine à concilier les deux univers. Là où le film aurait pu être très complaisant, la tendresse pour les personnages le sauve, à mon sens, ainsi que l’humour toujours bien senti. Plus réjouissant encore la scène finale durant laquelle tout le casting se met sur la gueule même Lauren Bacall dans sa robe haute couture… et même son collègue gay qui assomme tout le monde à coup d’entrechats. Qui plus est, l’ensemble est très rythmé et bien filmé et les costumes sont absolument fabuleux même si les prix assénés par les mannequins durant le défilé nous ramènent les pieds sur Terre. Note ce film passe le Bechdel Test ! Dans la catégorie Vague à l’âme » Une étoile est née, de George Cukor 1954 On commence avec un autre film de George Cukor qui dirige une autre de mes actrices préférées du monde Judy Garland et sa grosse voix incroyable. Ce film comme Chantons sous la pluie d’ailleurs a pas mal inspiré The Artist, donc si vous avez aimé, foncez ! Il s’agit d’un remake du film du même nom de 1937 et qui aura lui-même un remake en 1976 avec Barbra Streisand. Pour moi, la meilleure version de cette histoire reste celle de Judy Garland et James Mason. Elle est une jeune chanteuse et lui une star sur le déclin à cause de ses problèmes d’alcool. Ils se croisent classique, il descend, elle monte. On a encore une vue assez critique du milieu hollywoodien décidément, j’aime les films sur le cinéma avec notamment une scène de maquillage » de la pauvre Judy Garland qui se retrouve défigurée et complexée, mais ce sont avant tout les personnages qui touchent et la beauté de leur relation. L’histoire semble vue et revue mais quand c’est aussi bien fait, on ne boude pas son plaisir. Les séquences musicales sont épatantes aussi Diamants sur Canapé, de Blake Edwards 1961 Ok, le running-gag du voisin japonais est vraiment pas terrible, ok, Holly Golightly est un pur fantasme d’écrivain en mal de rêve et ok, le happy end est complètement bricolé mais mis à part ça, ce film est un sans-faute. Il parle avec beaucoup de délicatesse de la relation étrange entre deux personnages un peu paumés, un peu blessés. Deux espèces de prostitués dont les sourires sonnent faux. Je suis pas folle d’Audrey Hepburn je préfère Katharine… et la folie autour de son minois et de son fume-cigarette me tape sur le haricot mais elle est extraordinaire dans ce film. Pas seulement parce qu’elle est super classe, surtout parce que son personnage est incroyablement touchant et juste, beaucoup plus profond que l’image glamour de papier glacé qui en est resté. Dès que j’entends ce thème, j’ai la larmiche qui vient Mooon snif Riveeeer… La vie privée de Sherlock Holmes, de Billy Wilder 1970 J’adore Billy Wilder et George Cukor et La vie privée de Sherlock Holmes est mon deuxième préféré dans ses films qui comptent aussi le bof Sept ans de Réflexion auquel on doit l’image de Marilyn la jupe au vent. Parlons donc un peu de La vie privée de Sherlock Holmes, auquel je suis sûre que la série Sherlock doit beaucoup dans la façon dont le personnage est traité en tous cas, le dessin animé Basil détective privé lui rend hommage. Le film a l’air un peu déstructuré mais il faut dire que Billy Wilder avait initialement pour projet de réaliser une série de longs-métrages, ce qui, hélas, ne s’est pas fait. Le rythme n’est pas toujours top mais les personnages sont si attachants ! Watson n’est peut-être pas extraordinaire et encore, on a vu pire mais le Sherlock de Robert Stephens est incroyable. Un dandy mélancolique et pince-sans-rire, qui complexe à côté de Mycroft, son frangin Christopher Lee, déjà assez âgé… ce type est un vampire, maladroit mais malin, charmant mais sec, misogyne… mais pas vraiment une de mes incarnations préférée du détective largement sous-estimée hélas. Ça commence comme une comédie légère La série n’a pas été la première à faire des blagues sur la sexualité de Holmes ! Et ça finit dans une mélancolie pesante. La musique magnifique de Miklos Rozsa aide beaucoup. La rumeur, de William Wyler 1961 J’ai commis l’exploit de ne citer aucun Hitchcock dans cette petite sélection je recommande aussi Hitchcock hein, mais je suis pas über fan et là, je me limite à mes préférés de chez préférés mais je tiens juste à dire que je trouve Mais qui a tué Harry ? un tantinet chiant et que Shirley MacLaine sauve ce film… Et ici, elle est tout aussi géniale ! On retrouve également Audrey Hepburn avec elle et les deux actrices sont extra, mais je pense que c’est surtout par son thème assez audacieux que La Rumeur a marqué deux amies ont fondé un pensionnat huppé pour petites filles mais lorsque l’une d’elle les accuse d’avoir des relations homosexuelles pour se venger d’une punition, leur réputation est détruite. J’adore la façon à la fois frontale et délicate dont le film aborde cette question, j’adore les regards, les non-dits, l’ambiance cocon de ce gynécée qui devient presque oppressante à force, les gamines dont la très touchante toute jeune Veronica Cartwright… Bref, à voir ! Note ce film passe évidemment le Bechdel Test ! Notez qu’une adaptation théâtrale du roman qui a inspiré le film a été jouée récemment avec Keira Knightley, Elisabeth Moss et Tobias Menzies. Bonus ! Dans la catégorie MINDIEU mais qu’est-ce qu’ils avaient pris » Mary Poppins, de Robert Stevenson 1964 J’adore le bouquin et pendant longtemps je râlais C’est pas du tout l’esprit du livre ! Mary Poppins est trop gentille ! ». Mais je l’ai redécouvert récemment et je dois dire que je suis sous le charme. Les séquences musicales sont mirifiques, les séquences animées ont pris un coup de vieux mais gèrent quand même, c’est drôle, c’est touchant, c’est absurde. Certes, c’est moins féroce que le livre et peut-être aussi moins juste les enfants sont beaucoup moins réalistes et intéressants mais on a quelques ajouts sympa la Maman suffragette très sympathique et dans l’ensemble, ça reste un chef-d’oeuvre intemporel ». Note ce film passe le Bechdel Test ! Quand j’étais petite, cette séquence et tous ces visages noirâtres me faisait GRAVE flipper mais maintenant, c’est ma préférée. Chantonssous la pluie Don et Lina forment le couple le plus célèbre du cinéma muet. Mais s'ils sont perpétuellement amoureux à l'écran, dans la vie ils se détestent ! Avec l'avènemen 18 novembre 2010En route pour Arte Deux ans mois pour mois après l’ouverture de ce blog en novembre 2010, initié par le Festival del film Locarno, je débute, à compter du 5 novembre 2012, mes nouvelles fonctions aux postes de directeur de l’Unité Cinéma d’Arte France et de directeur général délégué d’Arte France Cinéma. Vous pourrez à partir de la semaine prochaine suivre ce blog à l’adresse mais le contenu en demeurera inchangé hommages aux cinéastes et aux films que nous aimons récents et moins récents, célèbres ou méconnus, regard subjectif sur l’histoire du cinéma, compte-rendu de festivals, nécrologies le moins possible, merci… A tout cela bien sûr s’ajoutera l’actualité cinéma d’Arte les tournages, les sorties de nos coproductions en salles et en DVD, leurs sélections dans les festivals, les cycles et les événements cinéma de la chaîne, plus tout ce qui nous donne envie d’écrire sur le cinéma, tout le cinéma, rien que le cinéma. Je vous remercie pour votre fidélité et votre intérêt croissant pour ce blog cinéphile et j’espère vous retrouver encore plus nombreux sous la bannière d’Arte. J’ai toujours pensé que les blogs étaient les derniers repaires de la vanité et de l’exhibitionnisme. Pourtant, devant la gentille insistance de certains collègues du Festival del film Locarno, j’en fais un. Non pas que mes sentiments aient beaucoup évolué sur les billets d’humeur, coups de gueule, journaux intimes et autres carnets mondains divulgués avec indulgence sur internet par des gens qui pensent que leurs impressions sur tout et rien sont un don fait à la postérité. Ne vous attendez pas à des épanchements sur ma vie publique, privée et professionnelle larvatus prodeo », telle est la devise du directeur artistique. De toute façon, vous seriez déçus. En revanche, ce blog accueillera des comptes-rendus sur l’actualité permanente du festival en dehors des dates du festival, mes lectures et les films que je vois tous les jours hormis ceux que je visionne pour les différentes sélections de Locarno, bien entendu. N’étant pas graphomane, la régularité des livraisons demeure encore incertaine, mais je vais faire de mon mieux pour établir un contact fréquent, sinon permanent, avec tous celles et ceux qui s’intéressent au cinéma en général et au Festival del film Locarno en particulier. Comme vous pouvez vous y attendre, le cinéma et rien que le cinéma sera le fil conducteur de ce blog. J’ai déjà la chance de m’exprimer quand on me le demande dans les colonnes de l’hebdomadaire français Les Inrockuptibles » sur l’actualité de la cinéphilie, et d’écrire de manière beaucoup plus épisodique dans d’autres publications internationales. Ce blog accueillera des articles d’enthousiasme que l’on pourrait classer de la manière suivante. Il y aura les hommages à des personnalités de l’histoire ou de l’actualité du cinéma, les critiques de films récents, les notes de lecture sur des ouvrages de cinéma, les nécrologies. Il y aura également des chroniques sur des films vus et revus des classiques de l’histoire du cinéma jusqu’aux trésors cachés et les plaisirs coupables – même s’il n’y a pas de plaisirs coupables de mon point de vue, mais aussi les chefs-d’œuvre – reconnus ou non – et les films de chevet que nous ne sommes pas les seuls à vénérer. Lors de mes moments de liberté, je passe bien plus de temps à visionner des DVD qu’à pianoter sur mon clavier d’ordinateur. J’espère donc être capable de maintenir le rythme de ces livraisons, sans trop empiéter sur mon temps de sommeil. Ce blog proposera aussi des nouvelles fraîches et des informations exclusives liées au Festival del film Locarno, généreusement dispensées avant la date fatidique du 3 août 2011, soit l’ouverture de la 64ème édition. Voilà, c’est parti. Born March 17, 1971 in Marseille France Nationality French MA in Modern Literature, Paris IV – Sorbonne Professional activites From November 1st, 2012 Executive director of Arte France Cinema and director of film acquisitions for ARTE France 2009 – 2012 Artistic Director, Festival del film Locarno Switzerland 2004 – 2009 Artistic Director, Directors’ Fortnight, Cannes 1997 – 2012 Contributor to the film section of the French weekly magazine Les Inrockuptibles 1996 – 2009 Programmer, Cinémathèque française Paris 1996 – 2008 Print research for retrospectives for the Belfort Entrevues’ Festival Publications 2010 Jacques Demy » with Marie Colmant, Editions de la Martinière, Paris 2010 Contribution to the book Take 100 – The Future of film 100 New Directors » Phaidon Press, New YorkModifier mon compte Mes commandes S'identifier Nous contacter CGV Mes favoris Déconnexion Accueil Cinémas Film musical Chantons sous la pluie De Stanley Donen, Gene Kelly 1952 Le film Voir les séances Avis Cinémas Film musical 1h43 Réédition Réalisation Stanley Donen, Gene Kelly Principaux artistes Jean Hagen, Gene Kelly, Debbie Reynolds, Cyd Charisse Genre Film musical Titre original Singin' In the Rain Nationalité Etats-Unis Durée 1h43 Année de réalisation 1952 Date de sortie 1er juin 2022 Date de première mise en salle 11/09/1953 Distributeur Warner Bros. France Présentation En 1927, Don Lockwood et Lina Lamont forment un couple idéal du cinéma muet. L’avènement du parlant, l’année suivante, compromet la carrière de Lina dont la voix de crécelle produit des effets désastreux. Don fait alors la connaissance d’une jeune figurante, Kathy, dont il tombe amoureux. Devant l’échec d’un premier film sonore tourné par les deux vedettes, un ami de Don, Cosmo Brown, a l’idée de remanier complètement cette production, transformée en comédie musicale, où Kathy doublera la voix de Lina, à l’insu de intrigue aux données ingénieuses, d’étourdissants numéros de danse exécutés par Gene Kelly et Donald O’Connor, une fantaisie de chaque instant confèrent un charme incomparable à ce film que l’on peut considérer comme l’une des meilleures comédies musicales réalisées à Hollywood. Soixante-dix ans après, Chantons sous la pluie ressort dans une version restaurée en 4K. Casting Réalisation Stanley Donen, Gene Kelly Distribution Jean Hagen Lina Lamont, Gene Kelly Don Lockwood, Debbie Reynolds Kathy Selden, Cyd Charisse la danseuse, Donald O'Connor Cosmo Brown, Millard Mitchell Simpson, Rita Moreno Zelda Zanders, Dawn Addams une dame d'honneur, Elaine Stewart une dame d'honneur, Douglas Fowley Roscoe Dexter, Madge Blake Dora Bailey, King Donovan Rod Casting technique Betty Comden Scénario, Nacio Herb Brown Musique, Randall Duell Direction artistique, Adolph Green Scénario, Lennie Hayton Musique, Cedric Gibbons Direction artistique Derniers avis Il n'y a pas encore d'avis sur Chantons sous la pluie ! À voir également... Banlieue 92 Le Select 10 avenue de la Division Leclerc 92160 Antony Newsletter Chaque mercredi, le meilleur des sorties culturelles à Paris. Réseaux sociaux Suivez-nous sur Instagram, Facebook ou Twitter
RegarderChantons sous la pluie Film complet HD 1080p. Chantons sous la pluie complet Téléchargement in français. Regarder Chantons sous la pluie complet Téléchargement hd. Regarder Chantons sous la pluie complet dual Présentation et échange autour du film par Alain Vauchelles, professeur honoraire de Lettres et Cinéma. Comédie musicale de Stanley Donen, Gene Kelly - Durée 1h42 Avec Jean Hagen, Gene Kelly, Debbie Reynolds Don Lockwood et Lina Lemont sont le couple star du moment à Hollywood. Mais lorsque le parlant arrive, la voix de crécelle de Lina menace la carrière du duo... Dimanche 31 Mars 17h VOST CHVjC.